Toute l'actualité sur le soutien à domicile des personnes âgées

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Anne-Laure est mère aidante de sa fille Léa, porteuse du syndrome de la trisomie 21. À travers son blog et sa page Instagram je_suis_lea_je_suis_licorne, Anne-Laure nous partage, le temps d’une interview sans langue de bois, son quotidien de maman aidante et sa vision de l’accompagnement.

Après une grossesse sans encombre, la jeune maman s’est retrouvée désemparée face au diagnostic apporté par les médecins. Sa fille Léa est atteinte du syndrome de la trisomie 21. L’annonce du handicap de sa fille l’a de suite propulsé vers une remise en question, personnelle, sociale et professionnelle. Rapidement, et ce malgré le manque d’information à la sortie de l'hôpital, Anne-Laure a dû faire face à la mise en place d’une logistique et d’un suivi médical, afin de subvenir aux besoins de son enfant. 

L'importance des associations et des entreprises d’aide à la personne

Anne-Laure a trouvé le soutien et l’accompagnement qu’elle cherchait auprès d’entreprises et d’associations spécialisées dans l’aide à la personne dont elle nous rappelle l'importance du travail réalisé par celles-ci. Ce sont les premières structures vers lesquelles les parents aidants se tournent. Seule, Anne-Laure n'aurait pas réussi à coordonner les professionnels adaptés pour assurer le suivi de sa fille. Grâce à l’expertise de ces structures spécialisées, la jeune maman a pu mettre en place une réelle prise en charge pour sa fille. Cette aide précieuse a non seulement contribué à l’amélioration du quotidien de Léa, mais a également soulagé sa mère. 

Selon Anne-Laure, la première règle pour accepter son nouveau rôle de parent aidant, est d’accepter son chagrin.

Pour accompagner son enfant, il ne faut pas lutter contre ses pensées négatives ni contre ses pleurs ou ses peurs. Il est également important d’apprendre à vivre “au jour le jour”, d’avancer à son rythme et d’affronter le regard des autres sur la différence.

Bien que le handicap soit de plus en plus représenté dans les différents médias, beaucoup de personnes sont encore dans la méconnaissance. Pour Anne-Laure, cet inconnu justifie les regards déplacés, les moqueries, ou encore les réflexions que peuvent recevoir les personnes en situation de handicap. Toutefois, ces réactions ne sont pour elle pas provoquées par la haine, mais par un sentiment de peur, d’inconnu. 

Si Anne-Laure devait définir son quotidien en quelques mots, le premier serait l’amour. L’amour qu’elle porte à sa fille Léa dépasse toutes les peurs et les difficultés qu’elle rencontre. Enfin, elle qualifie son quotidien de maman aidante par la résilience et la logistique dont elle fait preuve dans l’organisation et la coordination des rendez-vous médicaux de Léa. 

Aujourd’hui, Anne-Laure est heureuse de pouvoir accompagner sa fille dans son quotidien et de pouvoir contribuer à son développement. Grâce à Léa, sa maman se sent une meilleure version d’elle-même et a à cœur de pouvoir sensibiliser le grand public sur la différence. 

Anne-Laure nous partage, le temps d’une interview, son quotidien de maman aidante et sa vision de l'accompagnement

Anne-Laure, mère aidante

Interview d’Anne-Laure, une maman aidante

Laura est une maman active habitant dans le nord de la France avec son conjoint et ses 2 enfants, Gabin 9 ans, et Saori, 2 ans, amputée de sa jambe droite. Au quotidien, Laura jongle entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle. Une fois sa journée de travail terminée, un vrai parcours du combattant l’attend :  gestion des aides, rendez-vous avec les professionnels pour sa fille, gestion des besoins de ses enfants et les tâches quotidiennes de la maison. Beaucoup de poids repose sur ses épaules et celles de son conjoint. 

La seconde grossesse de Laura s’est déroulée normalement, sans problème particulier. Cependant, quelques mois après son accouchement, les médecins ont diagnostiqué une malformation à Saori nécessitant l’amputation de sa jambe gauche à seulement 9 mois. 

Initialement partagée entre l'incompréhension et la culpabilité, elle accompagne aujourd’hui Saori avec bonheur, amour, et détermination dans son quotidien de petite fille. Laura est donc devenue une maman aidante. 

À l’annonce de cette rupture dans son quotidien, Laura a également été confrontée au manque d’informations et à la complexité des services administratifs français. En plus d’accompagner sa fille dans ses gestes, Laura a également entrepris de nombreuses démarches sans trop savoir vers qui s’orienter et si des aides existaient. 

Aujourd’hui, elle  nous exprime son regret de ne pas avoir connu un service comme Marguerite quand elle en avait besoin. Avoir eu une personne dédiée lui donnant toutes les informations nécessaires à l’amélioration du quotidien de sa fille l’aurait particulièrement soulagée dans son rôle de maman et d’aidante. 

Laura confie, alors, avoir trouvé du soutien, sur Instagram, auprès de mamans concernées par la même situation. À travers son compte saori_amput_kids, Laura s’est constituée un réseau de partage et d’échange. Elle a, aussi, rejoint une association spécialisée dans le handicap, qui lui permet d’échanger quotidiennement avec d’autres parents. 

Le regard de la société sur le handicap

Saori est une petite fille de 2 ans débordante d’énergie. Bien qu’elle soit trop jeune pour réaliser la signification de sa prothèse, Saori est bien consciente de sa différence par rapport aux autres enfants. Elle la perçoit surtout dans le regard des autres.

À ce sujet, Laura partage avec indignation et tristesse certains comportements déplacés de la part d’autres mamans, cachant les yeux de leurs enfants à la vue de la prothèse, ou encore interdisant à leur enfant de jouer avec Saori.

C’est avec bienveillance et pragmatisme que Laura explique la nécessité d’informer les enfants et de les éduquer sur la différence et sur le handicap. 

Dans son cadre familial, Laura tient à ne pas faire de différence entre ses enfants. Pour elle, Saori est une petite fille normale, disposant des mêmes loisirs, des mêmes joies, des mêmes peines, et des mêmes capacités que les autres enfants. 

Laura est une maman heureuse. Comblée de voir sa fille évoluer et s’épanouir chaque jour, c’est avec amour et bienveillance qu’elle lui vient en aide et met à sa disposition tout ce dont elle a besoin pour grandir comme toutes les autres petites filles. 

En France, de nombreux parents se sentent perdus et délaissés face aux démarches administratives, aides financières et autres actions liées au développement de leur enfant concernés par une situation de handicap.

Des solutions, bien que compliquées à trouver, existent. Chez Marguerite, nous agissons quotidiennement pour aider les personnes en situation de fragilité. De façon impartiale et bienveillante, nos experts coordonnent les solutions adaptées à chaque situation, afin d’améliorer leur quotidien.

Laura est une maman active habitant dans le nord de la France avec son conjoint et ses 2 enfants, Gabin 9 ans, et Saori, 2 ans, amputée de sa jambe droite. Au quotidien, Laura jongle entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle.

Laura, mère aidante de Saori

Marguerite, la solution de prévention et d’accompagnement des personnes en situation de handicap, des seniors et de leurs proches aidants fête ses deux ans ! Constituée, aujourd’hui, de 15 salariés, l’équipe de Marguerite affirme sa position dans le milieu du Care Management et réalisera prochainement son 10 000ème accompagnement. 

Il y a deux ans, Marguerite est née d’un constat réalisé sur les difficultés rencontrées par les personnes âgées, en situation de handicap et leurs proches aidants, dans la mise en place des aides nécessaires à la réalisation de leur projet de vie.

Aujourd’hui, Marguerite est devenue une plateforme nationale d'orientation et d'accompagnement à destination des séniors, des personnes en situation de handicap et de leurs proches aidants.
Grâce à son expertise, Marguerite facilite le soutien à domicile et propose, si besoin, d’autres solutions adaptées. Les accompagnements sont dispensés en distanciel par une équipe de spécialistes en intervention sociale et de professionnels de santé. 

À l’issue d’une analyse complète de la situation et des besoins de la personne, l’expert Marguerite prodigue des conseils, réalise des démarches et coordonne l’ensemble des solutions répondant au projet de vie. 

Notre ambition : aider un maximum de personnes quotidiennement 

“Durant ces deux années, Marguerite a conservé un même objectif : aider un maximum de personnes avec bienveillance. Nous continuerons de préserver le sens de notre accompagnement, en toute impartialité” - Alice DIEUDEGARD, Directrice Générale Adjointe

Près de 10 000 personnes accompagnées 

À ce jour, nos experts sociaux sont venus en aide à près de 10 000 personnes. En 2 ans, nos Care Managers ont écouté, conseillé, orienté, et accompagné 10 000 personnes en situation de fragilité, de handicap, ainsi que des proches aidants. Toute l’équipe Marguerite est fière d’avoir pu contribuer à l’amélioration du quotidien de ces personnes et d’avoir eu l’occasion d’échanger avec eux. 

Une équipe pluridisciplinaire impartiale et bienveillante

Au cours de ces 2 années, notre équipe s’est structurée et compte désormais 15 salariés et ce, malgré la crise sanitaire. Des profils d’horizons divers nous ont rejoints et parmi eux nous comptons notamment des infirmiers, des assistants sociaux, des ergothérapeutes, des éducateurs spécialisés…

Chaque jour, nos experts œuvrent pour le bien-être des personnes qu’ils accompagnent. Leur expertise dans les domaines du sanitaire et du social leur permettent d’écouter, d’informer, de conseiller et de proposer des solutions adaptées à chaque désirs et parcours de vie. Chaque jour, nos experts sociaux expriment la volonté de contribuer à l’amélioration du quotidien des personnes accompagnées. 

 L’aventure Marguerite, c’est également le soutien de partenaires qui ont cru en nous dès le début. À ce jour, Marguerite compte plus de 20 partenaires des secteurs du médico-social, mais aussi de l’adaptation du logement tels que  Alogia Groupe, Total Direct Énergies Développement, AG2R LA MONDIALE, Domofrance, Banque Populaire Auvergne Rhône Alpes, Groupe Vyv, Suez, Bpifrance, Caisse d’épargne, ASH, Agapes, Airbus Développement, Avec nos proches, Alrena, Gérontopôle, et le CIC.

Toute l’équipe Marguerite est fière du chemin parcouru. Notre rôle prend tout son sens et nous continuerons de nous développer et d’accompagner, en toute impartialité, les personnes qui en ont besoin. 

Marguerite, la solution de prévention et d’accompagnement des personnes en situation de handicap, des seniors et de leurs proches aidants fête ses deux ans !

Marguerite fête ses 2 ans !

La ménopause est un phénomène naturel rencontré par toutes les femmes se caractérisant par l’arrêt des règles et de l’ovulation. Suite à l’arrivée de ce phénomène, les ovaires de la femme arrêtent de produire les hormones de reproduction féminines (l’estrogène et la progestérone).

Avant de passer par l’étape ménopause, vient le point sur la périménopause. Bien qu’il soit difficile de donner un âge exact de l’arrivée de la périménopause, elle survient généralement aux alentours des 47 ans pour une durée de 4 ans, selon améli. Durant cette période, la femme connaîtra une diminution de la production d’hormones sexuelles féminines dans son corps. La périménopause se traduit chez la femme par des troubles du cycle menstruel. Cela se traduit notamment par des règles trop longues ou encore trop courtes, et particulièrement abondantes. Les principaux symptômes de la préménopause sont : les seins gonflés et douloureux, les ballonnements abdominaux, l’instabilité de l’humeur, et l’insomnie. 

Chaque corps est différent et détient ses propres caractéristiques. De ce fait, il est difficile de donner une réponse exacte à cette question. Néanmoins, selon doctissimo, la ménopause arrive généralement aux femmes de 50 ans. En France, la moyenne d’âge de la ménopause est estimée à 51 ans. Plus largement, selon doctissimo, la ménopause touche les femmes de 40 à 55 ans. 

Le site doctissimo spécialisé dans la santé fait une particularité pour les femmes considérées comme “grosses fumeuses”. Celles-ci verront leur ménopause avancée d’un an ou deux ans. 

D’autre part, la génétique joue également un rôle important dans l’arrivée de la ménopause. Selon doctissimo, l’âge de la ménopause est souvent identique entre une mère et sa fille. 

Quels sont les effets de la ménopause ? 

Chaque corps est différent et détient ses propres particularités. Bien que certains effets de la ménopause soient rencontrés par de nombreuses femmes, ce n’est pas vrai pour toutes. Selon docitissimo, 1 femme sur 2 ne ressent aucun trouble lié à la ménopause. D’autre part, l’intensité des symptômes ressentis peut varier d’une femme à l’autre. Toutes les femmes ne réagissent pas de la même façon et n’ont pas la même approche de leurs corps. 

Communément, les symptômes de la ménopause sont : 

Les troubles climatériques. Ils sont le symptôme le plus fréquent. En effet selon ameli, 8 femmes sur 10 ressentent des bouffées de chaleurs à l’arrivée de la ménopause. De plus, il se peut également qu’elles ressentent des rougeurs au niveau des joues et du cou, ou encore des sueurs et des frissons. Néanmoins, bien que les troubles climatériques ne durent que quelques minutes, ils peuvent faire surface plusieurs fois dans la journée ou dans la nuit. 

Les troubles urinaires. Les fuites urinaires peuvent survenir pendant un effort comme l’éternuement ou le rire. 

La prise de poids. Notamment au niveau du ventre. 

Les troubles de l’humeur. Il se peut que votre anxiété ou votre irritabilité se réveillent lors de l'arrivée de la ménopause.

Jusqu’à sa période de ménopause, la femme crée des ovules. Cependant, plus la femme prend de l’âge, plus ses chances de tomber enceinte diminuent. En effet, une femme peut tomber enceinte jusqu’à ce qu’elle soit ménopausée. Encore une fois, il est difficile de donner un âge fixe car l’âge de la ménopause dépend de chacune. 

En ce qui concerne la contraception, celle-ci doit être maintenue jusqu’à la certitude de la ménopause. Si ce n’est pas le cas, le risque de tomber enceinte est présent. 

Comment savoir si je suis ménopausée ? 

Pour avoir la certitude d’être ménopausée, vous pouvez prendre rendez-vous avec votre médecin traitant. Néanmoins, certains signes se montrent particulièrement révélateurs. Par exemple, si vous approchez la cinquantaine et que vous n’avez plus vos cycles menstruels depuis 12 mois, vous pouvez en déduire que la ménopause arrive. 

Si vous désirez en être certaine, votre médecin traitant peut vous faire un test de progestérone. En effet, il est possible de vous prescrire cette hormone à prendre 10 jours par mois, et cela pendant 3 mois consécutifs. À la suite de ce test effectué, si vos règles ne réapparaissent pas, vous pouvez avoir la certitude que vous êtes ménopausée. Néanmoins, la prise d’hormones n’est souvent pas nécessaire et recommandée par les médecins, car l’âge et les symptômes suffisent à émettre un diagnostic fiable. 

Découvrez toutes les particularités de ce phénomène naturel appelé la ménopause

La ménopause

Ces dernières années, de nombreuses initiatives solidaires et collectives en faveur des personnes en situation de handicap ont vu le jour. Toutefois, en France, les personnes en situation de handicap rencontrent des difficultés à trouver un emploi, selon Ipag. En 2017, plus de 500 000 personnes en situation de handicap étaient au chômage, selon le gouvernement, soit un chiffre 2 fois plus élevé que celui de la population active.  

Pour lutter contre ce phénomène, depuis le début du XXIè siècle, certaines structures solidaires incluant les personnes en situation de handicap ont vu le jour. 

Des établissement inclusifs, favorisant l’entrée dans le monde du travail des personnes en situation de handicap

En 2004, l’établissement Dans le noir situé à Paris ouvre ses portes, avec un concept à la fois inclusif et novateur. Ce restaurant parisien propose de dîner dans une obscurité absolue guidé et servi par des non-voyants. Au fil des années, ce concept solidaire à été repris par certains cafés, notamment Café-boutique Katimavik à Lyon, qui réunit personnes en situation de handicap avec des personnes valides, et Café Signes, à Paris, qui a la particularité d’être tenu en grande partie par des personnes sourdes-muettes. Ces initiatives favorisent l’emploi de façon pérenne des personnes en situation de handicap et permet au public d’apporter un autre regard sur le handicap. 

En reprenant le même concept, depuis 2017, les premiers restaurants solidaires appelés Café Joyeux naissent en France ” avec pour objectif de former et d’employer des personnes majoritairement atteintes de trisomie 21 ou de troubles cognitifs comme l’autisme. La mission de Café Joyeux est de travailler avec les fragilités de chacun, d’encourager la rencontre et de partager de la joie. À ce jour, les divers restaurants solidaires recensent 51 équipiers joyeux en situation de handicap mental et cognitif. 

Un engagement solidaire pour changer le regard sur le handicap 

Ces cafés-restaurants s’engagent à former et employer des personnes en situation de handicap, qu’il soit auditif, visuel, et/ou cognitif. Leur ambition est de rendre le handicap visible et favoriser la rencontre, en proposant un travail en milieu ordinaire, à des personnes éloignées de l’emploi.

Après une première évaluation, les travailleurs en situation de handicap sont recrutés et formés par une équipe de spécialistes RH, management, cuisine, et éducateurs spécialisés afin d’occuper un poste en CDI. 

Une solution formatrice et bienveillante pour les personnes en situation de handicap 

Dans le cas du Café Joyeux, ce restaurant permet à chacun des salariés de prendre confiance, de gagner en expérience, et de se sentir pleinement impliqué dans l’entreprise. En France, 5 cafés-restaurants joyeux sont présents à Rennes, Paris et Bordeaux. À ce jour, plus de 200 000 convives sont venus se restaurer dans les différents Cafés Joyeux, dégustant au total plus de 4 millions de tasses de Café Joyeux. Cet engagement solidaire favorise l’inclusion des personnes en situation de handicap dans le monde du travail. 

La situation du handicap dans le secteur de l’emploi en France

Depuis 1987, la loi française prévoit plusieurs dispositions en faveur de l’emploi des personnes en situation de handicap. Depuis cette loi, toute entreprise de plus de 20 salariés doit employer au minimum 6% de personnes en situation de handicap. Les travailleurs handicapés peuvent être concernés par un handicap visuel, auditif, mental, physique, ou encore de maladies invalidantes. Le handicap au travail se définit comme l’impossibilité ou la difficulté pour une personne à réaliser l’ensemble des tâches lui étant confiées au travail, et ce du fait d’une problématique de santé, selon ipag. 

Chez Marguerite, nous soutenons les initiatives solidaires en faveur de l’inclusion des personnes en situation de handicap dans le monde du travail. De façon impartiale et bienveillante, nous agissons chaque jour pour contribuer à l’amélioration de leur quotidien, et coordonnons les solutions adaptées à leur situation. 

Ces dernières années, de nombreuses initiatives solidaires et collectives en faveur des personnes en situation de handicap ont vu le jour. Toutefois, en France, les personnes en situation de handicap rencontrent des difficultés à trouver un emploi

Café Joyeux, Dans le noir, Katimavik, ou l’inclusion des personnes en situation de handicap dans le monde du travail

L’angoisse se définit comme une inquiétude profonde entraînant un sentiment de malaise physique et/ou psychique, selon l’internaute. Les angoissent désignent des peurs, des frustrations, et des phobies qui affectent notre état général. 

L’angoisse : qu’est-ce que c’est ? 

L’angoisse peut prendre diverses formes : sueurs, palpitations, mains moites, maux de ventre, ruminations... Dans certains cas, ses causes ne sont pas faciles à déterminer.

Lorsqu’une personne est concernée par des états d’angoisse à répétition, il peut être nécessaire d’apprendre à les gérer, d’en diminuer la fréquence, et leurs conséquences. Identifier et anticiper les facteurs déclencheurs, apprendre à se relaxer, ou encore parler avec un proche et/ou un professionnel, peuvent être des solutions à adopter. 

Pour maîtriser ses angoisses, il est nécessaire d’identifier leurs origines : relations conflictuelles, charge de travail considérable… les sources entraînant un sentiment d’anxiété peuvent être multiples. Certaines activités sportives, culturelles, et/ou artistiques peuvent également contribuer à la gestion de ses angoisses. La zoothérapie est un exemple, parmi tant d'autres, d'activités permettant d’apprendre à gérer son stress. Ce lien créé entre l’animal et l’Homme réduit le sentiment d’anxiété ressentie par la personne.

Aider au quotidien un proche est une expérience épuisante et génératrice d’angoisse, selon aidantattitude. 

“La peur est en effet omniprésente, celle de mal faire, ou qu’il arrive quelque chose au malade pendant la nuit, et la présence des professionnels au sein du domicile est particulièrement éprouvante”, selon aidantattitude. 

Ils sont aujourd’hui 11 millions à accompagner quotidiennement leurs proches. Les aidants sont souvent amenés à cumuler vie familiale, activité professionnelle et soutien à proche âgé, malade, en situation de handicap, ou de dépendance. Le rôle qu’ils jouent se fait souvent au détriment du temps pour eux, d’après une étude réalisée par Malakoff Humanis en 2020. Épuisés physiquement et fatigués moralement, les aidants sont quotidiennement confrontés à des situations angoissantes. 

Marguerite accompagne et soulage les aidants 

Dans le cadre de leurs interventions à domicile, les aidants familiaux et professionnels sont confrontés à des situations angoissantes.

Chez Marguerite, nos experts sociaux accompagnent les aidants dans leur quotidien afin de leur proposer des solutions adaptées afin qu’ils aient la possibilité d’avoir des moments de répit. Ensemble, nous établissons le projet de vie des personnes concernées par une situation de perte d’autonomie et/ou de handicap, afin de soulager les aidants dans leur rôle quotidien. 

Chez Marguerite, nos experts sociaux accompagnent les aidants dans leur quotidien afin de leur proposer des solutions adaptées afin qu’ils aient la possibilité d’avoir des moments de répit.

Le sentiment d’angoisse chez les aidants

Pour la première fois en France, Marguerite et CENTR'AD lancent un parcours de formation Care Manager à échelle nationale. L'innovation sociale est un enjeu majeur dans le secteur de l'accompagnement à domicile. En effet, après les travaux menés par Dominique Libault, Michel LAFORCADE et Myriam EL KHOMRI pour renforcer l'attractivité de ces métiers, une vaste réforme du grand âge et de l'autonomie a été engagée par Brigitte Bourguignon, ministre déléguée chargée de l'autonomie. 


Le Care Management : Un accompagnement 360°

Lors d’une rupture de parcours, l’usager et sa famille sont confrontés à une pluralité de services et d’informations. Le manque d’accessibilité de l’information qui s’avère souvent trop généraliste entrave la fluidité des interventions auprès des personnes fragiles.

Ainsi, le Care Management veille à l’intégration des différents moyens et acteurs autour d’un projet de vie. Cette technique est destinée à simplifier l’accès aux services et proposer un accompagnement personnalisé et adapté au parcours de vie et de soins de chaque personne. Les professionnels sociaux, appelés Care Managers, accueillent, informent, orientent et accompagnent les personnes en situation de difficultés et les aidants familiaux dans leurs problématiques.

Par la coordination de services, les Care Managers proposent des solutions adaptées aux besoins de la personne. Pour Anaïs MORAND, Directrice du pôle Care Manager chez Marguerite : “Il est primordial de construire un accompagnement 360°. De façon bienveillante et impartiale, nous œuvrons au quotidien pour répondre aux besoins des personnes en situation de fragilité et/ou de handicap, ainsi que leurs aidants familiaux. La coordination des services sanitaires, sociaux, et médicaux est à ce jour nécessaire dans la prise en charge globale des parcours de vie de l’usager.” 

Pour Etienne ARIZA, éducateur spécialisé et docteur en Sciences de l'éducation et de la formation, responsable de CENTR'AD : "Le développement du Care Management est un enjeu qui renvoie à trois niveaux :

À celui des bénéficiaires et de la qualité de l'accompagnement proposé, pour éviter les ruptures dans les parcours et pour favoriser leur projet de vie de manière globale.

À celui des professionnels de terrain, pour contribuer à leur professionnalisation et à leur montée en compétences.

À celui du secteur médico-social avec le maillage des différents acteurs et dispositifs, pour renforcer nos liens et notre intelligence collective"

L’objectif de ce programme de formation est multiple. Tout d’abord, il y a une réelle volonté de la part de Marguerite et de CENTR’AD de développer à échelle nationale la posture, les connaissances et les compétences nécessaires à la réalisation des fonctions de Care Manager. D’autre part, connaître et comprendre les différents acteurs, les dispositifs d’aide, leurs accès, développer les capacités d’analyse est également primordial. En effet, parcette formation, l’objectif est de pouvoir réaliser un audit des situations à 360°, mais également de mettre en relation les différents acteurs par la coordination des prestations nécessaires. Savoir élaborer des solutions adaptées aux besoins des bénéficiaires et de leurs aidants est l’enjeu majeur de cette formation.

Le programme de formation lancé pour la première fois par Marguerite et CENTR'AD sur le territoire national est une solution adaptable sur mesure. À travers des études de cas, des ateliers pratiques et une construction d’outils, il sera possible d’acquérir de nombreuses connaissances théoriques, méthodologiques et pratiques.

Au cœur de l’innovation sociale, il est primordial de s’unir dès à présent dans la mise en œuvre de ce parcours de formation sur mesure à destination des futurs Care-managers et des dirigeants, sur le territoire national.

Marguerite est la première entreprise de Care Management en France qui permet d’orienter et d’accompagner les personnes âgées, les personnes en situation de handicap et les aidants familiaux. Cette solution est destinée à favoriser le maintien à domicile des personnes dans des conditions favorables partout en France. Les accompagnements sont dispensés par une équipe de Care Managers expérimentée et pluridisciplinaire. Marguerite soutient ses usagers tout au long de leur parcours et se rend disponible pour leur simplifier le quotidien.

Organisme de formation, CENTR’AD œuvre tout particulièrement pour le secteur de l’accompagnement à domicile et contribue à la professionnalisation de ce secteur d’activité. Porteur d’innovation et d’actions sur-mesure, CENTR’AD accorde une exigence toute particulière à la finalité des métiers concernés : l’accompagnement de qualité des personnes dépendantes et en perte d’autonomie.

Pour la première fois en France, Marguerite et CENTR’AD innovent et lancent un programme de formation Care-Managers à échelle nationale. L’innovation sociale est un enjeu majeur dans le secteur de l’accompagnement à domicile. Ainsi, le Care Management offre un accompagnement 360°. Il veille à l’intégration des différents moyens et acteurs autour d’un projet de vie.

Marguerite et CENTR'AD lancent un parcours de formation Care-Manager

Pour la première fois en France, Marguerite et CENTR'AD lancent un parcours de formation Care-Manager à échelle nationale


Samedi 28 novembre, Marguerite était l'invitée de SudRadio dans l'émission "C’est dans l’actu" animée par Philippe David pour présenter sa campagne nationale #AIDONSLES qui vient en aide aux personnes isolées.  

Réécoutez notre podcast 👉 https://www.youtube.com/watch?v=kQ6zi8MPD5I

Marguerite était l'invitée de SudRadio dans l'émission "C’est dans l’actu"

Sud Ouest a présenté la campagne solidaire #AIDONSLES de Marguerite dans son édition du 28 Novembre 2020.

#AIDONLES : une campagne solidaire nationale qui veille à signaler, soutenir et secourir

Dans ce contexte de crise sanitaire, Marguerite lance une campagne solidaire nationale #AIDONSLES auprès des publics fragiles et leurs aidants familiaux. À ce jour, nous souhaitons nous engager plus que jamais en créant cette campagne solidaire qui vise à signaler, secourir et soutenir les personnes les plus fragiles. 
Notre numéro unique, le 0 809 541 851 est désormais mobilisable pour être accompagné ou signaler toute personne en situation de détresse. 

Nos équipes d'experts sociaux, les Care Managers, seront à l'écoute et coordoneront les solutions adaptées à votre situation. Sentiment de solitude, coordination des besoins de première nécessité, situation de handicap... 
Ce mouvement n'a qun seul objectif : sauver le maximum de vies. 

Notre équipe d'experts agit au quotidien pour proposer des réponses claires et rapides. Soutenez l’action en partageant notre publication avec le #AIDONSLES afin qu’un maximum de personnes en bénéficie.

Ce dispositif veille à signaler, soutenir et secourir toute personne en situation de détresse, sociale et/ou économique.

Que ce soit d’ordre économique, ou pour contribuer aux enjeux environnementaux actuels, il y a plusieurs raisons d’adopter une consommation locale et de saison.

Consommer local et de saison contribue au soutien de l’économie locale. En réduisant les intermédiaires et en achetant vos produits directement aux producteurs locaux, vous contribuez au développement et au dynamisme local. En effet selon siga.care, en plus d’acheter vos produits à un prix juste, vous donnez la possibilité aux producteurs de créer des emplois et d’étendre son exploitation.

D’autre part, manger des produits locaux et de saison veille également à la protection de l’environnement.  En achetant directement vos denrées aux producteurs proche de chez vous, vous réduisez les transports de marchandises qui sont responsables de la pollution de l’air, mais aussi les emballages plastiques qui représentent également une source de pollution non négligeable. De plus, “les étapes de transformation des aliments consomment de l’eau, de l’énergie et émettent des gaz à effet de serre”. Ainsi, consommer des produits locaux laisse place à la biodiversité, mais aussi au respect de l’environnement. 

D’après siga.care, “les fruits et les légumes locaux sont récoltés à maturité et souvent commercialisés le jour même. Ils ont mûri dans les champs et non dans les transports”. Ainsi, les fruits et légumes récoltés chez votre producteur local seront plus frais et de meilleure qualité que les produits vendus en grande surface. 

Adapter son alimentation à la saison permet de redécouvrir des produits oubliés. La production offre l’opportunité de découvrir de nouveaux goûts et de nouvelles saveurs, et ce, à chaque saison. D’autre part, produire localement réunit les conditions naturelles qui permettent aux fruits et aux légumes “de se charger en un maximum d’éléments nutritifs du sol. Cela conduit à des aliments plus savoureux, mais aussi plus intéressants sur le plus nutritionnel”, selon siga.care.  

Voici quelques conseils pour adapter son alimentation à la provenance des produits mais aussi à la saison :

Pour consommer des produits locaux et de saison, privilégiez les circuits courts. Par exemple, rendez-vous au marché proche de chez vous pour y rencontrer les producteurs locaux. Si vous n’avez pas le temps, ou qu’il est plus pratique pour vous de vous rendre en grande surface, vous pouvez alors favoriser les produits importés le plus proche de chez vous. Limiter sa consommation de produits exportés permet de diminuer l’impact environnemental des livraisons et favorise également l’économie locale. En consommant des produits récoltés proche de chez vous, vous contribuez à l’économie de votre commune, et de votre région. 

Cultiver son propre potager est une bonne alternative au manger local et de saison. En fonction de la période, vous pouvez récolter vous mêmes les produits que vous consommerez dans votre assiette. Tomates, herbes aromatiques, piments, pommes de terres, citrouilles, petits pois, haricots verts, fraise, framboise… les possibilités sont nombreuses. Néanmoins, si vous êtes amateur en la matière et que vous ne savez pas à quelle période planter vos semences, voici un calendrier de qui pourra vous venir en aide. 

Opter pour un jardin solidaire et partagé

Le jardin solidaire et partagé est une alternative lorsque vous n’avez pas la place de cultiver vos semences. Ce jardin communautaire est géré et cultivé en collectivité par les habitants d’un village ou d’un quartier. Outre la récolte des produits, le jardin solidaire est un lieu communautaire dont l’objectif est le développement et le renforcement du lien social. Il permet aux personnes n’ayant pas d’extérieur de pouvoir planter et récolter leurs produits. 

De nos jours, les consommateurs sont de plus en plus exigeants sur le contenu de leurs assiettes. Ils prêtent une attention particulière à la provenance, mais aussi à la qualité des produits consommés. Ainsi, acheter ses produits de consommation directement au producteur local lui donne confiance, mais lui permet aussi de participer à la vie de sa commune, selon sosoir. Ainsi, les consommateurs sont désormais conscients et préoccupés par la provenance et la saisonnalité des produits qu’ils consomment. Manger local et de saison s’inscrit alors comme un enjeu sociétal actuel et futur. 

Depuis quelques années, le choix de manger sainement, local et de saison a pris de l’ampleur, selon l’epicier. C’est un réel engagement au mieux manger qui se développe.

Manger local et de saison : le guide des bonnes pratiques

En 2027, la France comptera près de 3 millions de personnes en perte d’autonomie, et 4 millions en 2050. Face à cette augmentation significative, il peut parfois s’avérer compliqué de demander de l’aide ou d’en proposer. 

Que ce soit pour l’aidant ou l’aidé, admettre que l’on a besoin d’aide ou proposer d’accompagner un proche n’est pas chose facile. Néanmoins les deux ont un objectif commun : permettre à la personne fragilisée d’affronter plus sereinement sa vie quotidienne grâce à une aide adaptée. 

Quel est le bon moment pour demander de l’aide ? 

Le bon moment pour demander de l’aide est lorsque vous vous sentez prêt. Néanmoins, il existe certains signes d’alerte à ne pas prendre à la légère. Selon abc-senior, la perte d’autonomie chez les seniors se caractérise par l’identification des indicateurs de fragilités tels que l’affaiblissement, la perte de poids, les douleurs récurrentes, et la difficulté à se déplacer. Face à cela, les personnes âgées sont contraintes d’adapter leur mode de vie, d’adopter de nouvelles habitudes, une transition qu’il peut être difficile à mettre en place dans son quotidien.  

Demander de l’aide à un proche ou à un professionnel peut dans certains cas s’avérer délicat. La peur d’être jugé, ou de déranger peut parfois être dissuasive pour se faire accompagner. Cependant, pour demander de l’aide, il faut d’abord accepter de voir ses capacités physiques s’affaiblir. D’autre part, il est également primordial pour une personne concernée par la perte d’autonomie d’identifier ses désirs, ses besoins. Une fois qu’une personne âgée aura identifié son/ses besoin(s), elle sera en capacité de demander l’aide nécessaire. 

Il est possible de se faire aider du fait de l’avancée en âge, sans que la perte d’autonomie soit avérée. Dès lors que vous constatez une difficulté à porter des charges, une fatigue à réaliser les tâches ménagères, vous pouvez faire appel à un organisme spécialisé. Si les tâches quotidiennes deviennent plus complexes comme se vêtir, se déplacer … alors il faut accepter le début de la perte d’autonomie. 

Que ce soit dans votre entourage ou auprès d’un personnel qualifié, de nombreuses personnes peuvent vous venir en aide. Un membre de la famille, une auxiliaire de vie, une aide au repas, au transport, ou à la mobilité, tout type de professionnels s'adapte à votre situation. Pour entrer en contact avec un service d’aide à la personne et demander à être accompagné, vous pouvez notamment vous tourner vers un service d’accompagnement spécialisé sur internet qui vous mettra en contact avec les professionnels adaptés. En effet, les care managers vous apportent des solutions adaptées et co construisent avec vous votre projet de vie de façon à ce que celui-ci se passe dans de bonnes conditions. Ce nouveau métier est notamment référencé pour pallier ces problématiques et accompagner les personnes concernées. 

Afin de mieux vivre au quotidien, vous pouvez demander de l’aide à un proche ou faire appel à un professionnel qualifié. Suivant votre situation, l’un sera forcément plus préférable que l’autre. En effet, demander de l’aide à un membre de sa famille peut aider à gérer plus confortablement ses problématiques quotidiennes. Que ce soit votre fils ou votre petite-fille, ils se porteront sûrement présents pour vous tenir compagnie ou vous aider à effectuer quelques tâches simples. Néanmoins, les aidants familiaux peuvent parfois se retrouver débordés. Dans ce cas présent, il est conseillé de faire appel à un service d’aide spécialisé qui vous mettra en relation avec tous types de professionnels tels que des auxiliaires de vie, des infirmiers, des kinésithérapeutes, ou une assistance de portage de repas. Des professionnels adaptés interviendront pour vous accompagner dans votre quotidien. 

Comment aborder l’accompagnement en tant qu’aidant ?

Proposer son aide à un proche ou à une personne concernée par la perte d’autonomie est une action souvent faite avec plaisir et bienveillance. Selon amapa, le proche aidant “est une personne qui apporte une aide régulière à un proche qui se trouve en perte d’autonomie. L’aidant intervient dans les actes du quotidien que la personne dépendante n’est plus capable de réaliser seule.”

Pour proposer son aide et accompagner un proche dans ses tâches quotidiennes, l’approche que vous allez avoir est primordiale. Si vous percevez qu’un de vos proches rencontre des difficultés à se faire à manger, à se déplacer, ou qu’il a tout simplement besoin de compagnie, vous pouvez lui venir en aide. Pour cela, il est nécessaire de mesurer votre approche. Par exemple, vous pouvez proposer votre aide de façon anodine pour une tâche précise, ou soumettre l’idée d’accompagner cette personne tel(s) jour(s) de la semaine. D’après Anaïs MORAND, Care-manager chez Marguerite, le tout est de ne pas imposer votre idée et vos solutions. La personne aidée appréciera sûrement votre attention et votre dévouement si celui-ci est en accord avec sa personne. Enfin, au cours de son accompagnement, l’aidant peut se tourner vers un service spécialisé qui lui délivrera les différents accompagnements possibles et les solutions adéquates en lien avec la problématique de la personne concernée par la perte d’autonomie. 

En tant qu’aidant, il est nécessaire d’aborder l’accompagnement de façon délicate. Pour cela, certains termes sont à préférer et d’autres à bannir. 

Selon Anaïs MORAND, les termes à privilégier sont par exemple : aider, accompagner, soulager, dépanner, participer, souhaiter, alléger. 

En revanche, d’après notre care-manager, certains termes sont à éviter. Ils peuvent être perçus de manière négative auprès de votre interlocuteur et faire naître en lui un sentiment d’infériorité ou de dépendance : profiter, devoir, obligation, contrainte, exigence. 

De nos jours, 11 millions de personnes viennent en aide à un proche concerné par la perte d’autonomie ou en situation de handicap. Cette action souvent réalisée avec plaisir et dévouement peut parfois se faire au détriment de la vie professionnelle et/ou familiale. Enfin, les aidants comme les aidés font partie d’une société solidaire et inclusive. Que ce soit en apportant leur aide ou en la recevant, ces acteurs participent au bien vieillir de la société actuelle. 

En 2027, la France comptera près de 3 millions de personnes en perte d’autonomie, et 4 millions en 2050. Face à cette augmentation significative, il peut parfois s’avérer compliqué de demander de l’aide ou d’en proposer.

Aidant et aidé : quand commence l’accompagnement et la prise en charge ?

Face à la crise sanitaire du COVID-19, le Gouvernement français a annoncé son plan de mesures restrictives. Le 28 octobre 2020, le Président de la République Emmanuel MACRON a annoncé l’instauration d’un confinement pour une durée “d’au moins 4 semaines, c’est-à-dire jusqu’au 1er décembre 2020”.

Selon sciencesetavenir, “les personnes fragiles, souffrant déjà d’une maladie chronique et les personnes âgées font partie des populations les plus à risque face au coronavirus Covid-19”. Selon Silvereco, “Depuis le début de la crise du Covid-19, l’attention est légitimement portée sur le système hospitalier et la situation des personnes âgées en EHPAD, pourtant 94,5% des seniors vivent à leur domicile où ils ne sont pas protégés pour autant”. 

En effet, les seniors sont les premiers impactés par cette crise et se retrouvent souvent dépourvus face à cette situation anxiogène. D’après l’Observatoire ERGOCALL réalisé lors du premier confinement national sur 2 000 personnes âgées de plus de 65 ans, “41% de ces seniors n’ont reçu aucune visite en 2 mois, se retrouvant ainsi isolés de la sphère sociétale”. Il est ainsi primordial pour les aidants de veiller sur ces personnes âgées mais aussi aux organismes spécialisés de les accompagner pour améliorer leurs quotidiens. 

Quelles habitudes sont bonnes à prendre ? 

Pour prévenir des risques de contamination, il est recommandé par sciencesetavenir d’éviter au maximum les contacts humains comme par exemple faire la bise ou se serrer la main. Au lieu de cela, il est conseillé de se maintenir une distance d’un mètre et de se laver les mains régulièrement. 

D’autre part, les seniors sont également encouragés à limiter leurs déplacements aux sorties strictement nécessaires. 

Bien que cette période soit perçue assez difficilement par les seniors, elle met en lumière le rôle primordial que jouent les aidants dans le quotidien des personnes âgées. À distance, les aidants peuvent accompagner leurs proches dans cette période en maintenant un contact bienveillant avec eux. De plus, certains corps de métiers liés à l’accompagnement tel que les auxiliaires de vies peuvent toujours intervenir au domicile des seniors pour les accompagner dans cette période difficile.u En effet, garder le contact avec les personnes âgées est primordial pour palier à leur solitude. 

Comment bien s’acclimater à cette période restrictive ? 

La crise du Coronavirus entraîne un certain isolement chez les personnes âgées. Ce sont eux qui sont les premiers impactés par ces mesures restrictives. Le fait de devoir limiter les déplacements et de restreindre les échanges avec l’extérieur favorisent l’exclusion sociale. Pour palier à cela, il est nécessaire d’adapter son quotidien à la situation actuelle. Pour lutter contre l’ennui ou l’isolement, vous pouvez par exemple pratiquer une activité physique adaptée, ou encore vous initier au numérique. Bien que ces activités ne fassent pas forcément parties de votre quotidien habituel, elles peuvent être un bon moyen de passer le temps. En plus de cela, pratiquer une activité sportive est une bonne alternative pour palier à la perte d’autonomie. D’autre part, les canaux digitaux peuvent s’avérer être un levier contre l’isolement. Que ce soit à travers des jeux en ligne, des recherches de recettes de cuisine, ou pour écouter de la musique, internet offre de multiples possibilités. 

Qu’en est-il des résidences spécialisées ? 

Les résidences spécialisées comme les maisons de retraites ou les EHPADS sont aussi contraints de s’adapter à cette situation particulière. Les visites sont strictement encadrées, avec deux personnes maximum pour une durée d’une heure tout au plus. Pour gérer au mieux les allées et venues, les établissements n’accordent aucune visite sans rendez-vous. De plus, la température des visiteurs est également prise et les rencontres se font dans un espace dédié. 

D’autre part, le directeur général de l’ARS Aurélien ROUSSEAU a demandé aux Ehpads parisiens et des départements de la petite couronne d’élargir les créneaux des visites, pour permettre aux famille de venir le week-end ou en dehors des horaires classiques de journée “pour que les personnes qui travaillent puissent aller voir leurs familles”. Enfin, le directeur général de l’ARS a également appelé les Ehpad à limiter les sorties individuelles et les sorties dans la famille, pour réduire les risques de contamination des personnes âgées par les plus jeunes. 

Comment garder le lien avec les personnes âgées pendant le confinement ? 

Il est primordial de veiller à maintenir un lien social avec les personnes âgées pendant cette période particulière. Pour cela, il est conseillé de : 

Communiquer le plus possible grâce aux mails, courriers, appels vidéos 

Leur proposer vos services (faire les courses, portage de repas…)

Leur communiquer votre affection et votre soutien

Découvrir les multiples possibilités qu’offre le numérique : partager des photos en temps réel, leur faire découvrir votre playlist du moment, votre recette préférée, ou encore les initier aux jeux en ligne

Vous rapprocher d’un service d’accompagnement pour que vos proches ne manquent de rien

Organiser des échanges en visioconférence via différents canaux digitaux comme Teams, Zoom, ou Skype

Enfin, l’accompagnement des personnes âgées est primordial dans ces moments difficiles. Il est important que ceux-ci soient entourés et encadrés dans leurs vies quotidiennes pour mieux appréhender la crise sanitaire.  

Comment mener sa vie privée en ce second confinement lorsqu’on est un senior ?

Actualités Marguerite